L'écrasante majorité
des hommes se conduisent très mal, grossièrement, peureusement,
agressivement, irresponsablement, indignement et stupidement avec les
femmes. Soit, mais en retour, comment font les femmes ? L'écrasante
majorité des femmes s'appliquent à développer de grands efforts
pour maintenir cette situation en ne la remettant pas en question.
Le comportement féminin
peut se définir par les quatre positions du Tiramisù :
Chercher à plaire, mais
de loin. Et surtout, au nom de toutes sortes de justifications
conserver « la distance ». Peu importe les arguments
invoqués, l'essentiel étant de « conserver la distance ».
La fuite : un grand classique, également abondamment pratiqué par les hommes avec les femmes.
L'attaque en hurlant : combien de personnes apparemment calmes et tranquilles se livrent à l'occasion et curieusement à une séance de hurlements inattendus ?
La fuite : un grand classique, également abondamment pratiqué par les hommes avec les femmes.
L'attaque en hurlant : combien de personnes apparemment calmes et tranquilles se livrent à l'occasion et curieusement à une séance de hurlements inattendus ?
Rester sous les armes en
permanence. Ça peut être y compris de vraies armes ou des
techniques de combats à mains nues. Certaines femmes, du soir au
matin, y compris seules chez elle, ne se promènent pas autrement
qu'avec une arme sur elle. Y compris qui ne leur a jamais servie. Ou
alors s'assurent de la compagnie d'un chien très dangereux. Des
hommes font pareil.
Les quatre positions du Tiramisù peuvent se combiner à l'infini. Par exemple : plaire à distance, se rapprocher, puis fuir, attaquer en hurlant puis fuir, etc.
Les quatre positions du Tiramisù peuvent se combiner à l'infini. Par exemple : plaire à distance, se rapprocher, puis fuir, attaquer en hurlant puis fuir, etc.
Pourquoi la référence
au Tiramisù ? Parce que c'est un délicieux gâteau, qu'on essayera
ici d'éviter par tous les moyens d'approcher et manger.
Dans le domaine
« amoureux » la plupart des gens sont égarés, font de
très grands efforts pour se rendre malheureux et leurs efforts sont
récompensés. Ce n'est d'ailleurs pas le seul domaine où ils se
comportent ainsi.
Chose remarquable,
l'éducation à l'inconduite masculine est faite aux petits garçons
par les femmes. Elles souffrent de l'inconduite masculine et
l'enseignent à leurs enfants.
Une dame féministe m'affirmait dernièrement qu'étant ignorantes ces femmes étaient innocentes et que les hommes étaient responsables de cette situation à 100 %.
Une dame féministe m'affirmait dernièrement qu'étant ignorantes ces femmes étaient innocentes et que les hommes étaient responsables de cette situation à 100 %.
Elle m'affirmait
également qu'il ne fallait pas reconnaître et rémunérer le
travail domestique, car cette reconnaissance conduirait à confiner
les mères de famille à la maison. La solution étant « le
partage des tâches » avec les pères. Mais, quand les pères
ne sont pas là ? Et si une femme souhaite ne faire comme activité
que celle d'élever ses enfants ? Et pourquoi le travail domestique,
qu'il soit le fait des femmes comme des hommes ne devrait pas être
reconnu ?
Pourquoi, si j'élève des hamsters ou des cochons doit-on me payer ? Et si j'élève mes enfants ça doit être du bénévolat ? La solution serait le revenu universel inconditionnel de base.
Pourquoi, si j'élève des hamsters ou des cochons doit-on me payer ? Et si j'élève mes enfants ça doit être du bénévolat ? La solution serait le revenu universel inconditionnel de base.
Il me semble que
certaines féministes, comme les machos, ont à priori des préjugés
défavorables contre le sexe opposé. Et qui ne sont pas forcément
toujours justifiés. En attendant, le Grand Cirque continue
! En piste, et si vous êtes sensibles, préparez vos mouchoirs !
Basile, philosophe
naïf, Paris le 17 avril 2016
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