lundi 7 octobre 2019

1218 Un poète à propos de Parkinson

L'amour est une chose nécessaire à l'être humain et qu'on saura un jour définir objectivement et mesurer.

Quand il y a carence d'amour, c'est à dire qu'on descend en dessous d'un niveau que j'ai baptisé, à défaut de mieux « niveau de dopamine plancher » ou « dp », commencent les troubles dits de la maladie de Parkinson.

La descente continue.

Si on veut la stopper et guérir Parkinson, il faut remonter au niveau dp, voire monter au dessus.

Pour y parvenir, il faut agir dans le domaine de l'amour.

Ça commence par l'établissement d'un protocole expérimental de soins.

Tous les espoirs sont permis de parvenir ainsi à un progrès majeur de la Civilisation et notamment un très grand progrès médical.

Beaucoup d'autres maladies que Parkinson guériront avec Parkinson.

Une image pour illustrer ce texte : la dopamine naturelle c'est comme des fleurs dans un jardin, qu'on arrose avec de l'amour. On cesse de les arroser suffisamment. Elles se fanent. Pour remédier à cette situation, il faut faire pousser de nouvelles fleurs.

Basile philosophe naïf, Paris le 7 octbre 2019

jeudi 3 octobre 2019

1217Lioubithérapie ou lioubothérapie ?

La lioubithérapie va au delà, en dehors de la culture habituelle où nous baignons. C'est pourquoi il est très difficile de lui faire faire ses pemiers pas. On pourra parler de « lioubithérapie » en créant ce mot à partir du verbe russe lioubit' qui signifie aimer et du mot thérapie qui signifie méthode de soins. On pourra aussi parler de « lioubothérapie » en faisant dériver la première moitié de ce mot du mot russe lioubof, qui signifie amour.

Un thérapeute utilisant la lioubithérapie ou lioubothérapie sera un loubithérapeute ou lioubothérapeute.

Il fut un temps où les soins par massages requerraient le travail d'un massothérapeute. Sa valeur médicale était discutée. Aujourd'hui plus personne ne met en doute la valeur médicale des kinésithérapeutes qui leur ont succédé.

L'avenir de la lioubithérapie ou lioubothérapie s'inscrira dans le même schéma. Sa valeur comme soins sera un jour officiellement reconnue.

La dopamine est une hormone dont nous devons disposer en quantité suffisante pour être heureux et valide. Cette quantité pourra s'appeler le dopamine plancher ou dp.

Si suite à une accumulation de malheurs nous passons en dessous de la dp, toute une série de problèmes arrivent. Car outre son utilité comme « hormone du bonheur », la dopamine et un neurotransmetteur. Son insuffisance crée toutes sortes de problèmes. La description de ces problèmes forme la description d'une maladie inventée en 1817. Inventée, car il ne s'agit pas d'une maladie mais d'une carence.

Pour y remédier on fait de nos jours appelle à de la dopamine de pharmacie. L'action de celle-ci est limitée dans le temps et a des effets secondaires. Elle remplace mal la dopamine naturelle et ne soigne pas. C'est un cache-misère.

Seule le renouveau de la dopamine naturelle de la personne dopaminodéficiente signifiera guérison. Ce renouveau sera peut-être le résultat de la lioubithérapie ou lioubothérapie. Nous nous employerons à cette recherche, tout en sachant que le corps médical imprégné de matérialisme philosophique risque fort de ne pas la prendre au sérieux. Ce ne sera pas la première fois, pensons à Semmelweis et Benveniste.

Basie philosophe naïf, Paris le 3 octobre 2019