À
Paris, rue des Thermopyles
Passe
souvent, et repasse
Une
mystérieuse déesse noire
Sur
un joli scooter rouge.
Quand elle ôte son casque
Quand elle ôte son casque
On
ne voit plus
Que
ses cheveux
Ses
yeux
Et
son sourire merveilleux.
Quand je vois cette déesse
Quand je vois cette déesse
Mille
fleurs joyeuses poussent
Dans
mon cœur
Et
dans mes rêves.
Elle s'appelle Mina.
C'est à Paris
Elle s'appelle Mina.
C'est à Paris
Le
monument le plus exotique
Le
plus original
Et
le moins typique.
Quelquefois Mina disparaît,
Quelquefois Mina disparaît,
Car
elle s'envole vole vole
Dans
de grands oiseaux en métal,
Elle
part ainsi
Loin
de Paris
Chanter
Et
enchanter
Le
monde entier !
Basile
philosophe naïf, Paris le 26 avril 2018
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