Le Moulin à Café
Est comme une colline
De terre noire et fertile
Où poussent
Tendres et fragiles
Les plantes luxuriantes
Des amitiés nouvelles.
Au milieu de ces plantes
Luisent deux diamants verts
Qui me regardent,
Et quand ils me fixent
Je me souviens
Avoir pris un jour la liberté
En te parlant
De toucher un instant
Ton poignet
Très doucement,
Et avoir par là constaté
Que ta peau était aussi douce
Que ton regard est hypnotisant.
Basile philosophe naïf, Paris le 24
avril 2018
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