Quand j'observe
Les bras et les épaules nues des
Parisiennes,
Tendres créatures de satin et de rêves
Qui passent dans les rues de Paris
Comme les anges furtifs et gracieux
D'un enivrant et éblouissant Paradis
Dont les hommes seraient les
bienheureux,
Je me dis qu'il n'y a rien de plus beau
Et de plus doux à caresser
Que la peau nue des Parisiennes
Dans la chaleur de l'été.
Basile philosophe naïf, Paris le 21
avril et le 1er mai 2018
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