mardi 1 mai 2018

960 Soie et satin parisiens

Quand j'observe
Les bras et les épaules nues des Parisiennes,
Tendres créatures de satin et de rêves
Qui passent dans les rues de Paris
Comme les anges furtifs et gracieux
D'un enivrant et éblouissant Paradis
Dont les hommes seraient les bienheureux,
Je me dis qu'il n'y a rien de plus beau
Et de plus doux à caresser
Que la peau nue des Parisiennes
Dans la chaleur de l'été.

Basile philosophe naïf, Paris le 21 avril et le 1er mai 2018

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