lundi 7 octobre 2019

1218 Un poète à propos de Parkinson

L'amour est une chose nécessaire à l'être humain et qu'on saura un jour définir objectivement et mesurer.

Quand il y a carence d'amour, c'est à dire qu'on descend en dessous d'un niveau que j'ai baptisé, à défaut de mieux « niveau de dopamine plancher » ou « dp », commencent les troubles dits de la maladie de Parkinson.

La descente continue.

Si on veut la stopper et guérir Parkinson, il faut remonter au niveau dp, voire monter au dessus.

Pour y parvenir, il faut agir dans le domaine de l'amour.

Ça commence par l'établissement d'un protocole expérimental de soins.

Tous les espoirs sont permis de parvenir ainsi à un progrès majeur de la Civilisation et notamment un très grand progrès médical.

Beaucoup d'autres maladies que Parkinson guériront avec Parkinson.

Une image pour illustrer ce texte : la dopamine naturelle c'est comme des fleurs dans un jardin, qu'on arrose avec de l'amour. On cesse de les arroser suffisamment. Elles se fanent. Pour remédier à cette situation, il faut faire pousser de nouvelles fleurs.

Basile philosophe naïf, Paris le 7 octbre 2019

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