Qu'elle était
verte
La vallée de ma
jeunesse,
Qu'elle était
fraîche
La source de la
vie,
Qu'il était doux
Le chant des
oiseaux de la nuit.
Quand je t'ai
rencontré
Je n'ai pas vu
tout de suite
Comme tu étais
belle,
Comme ton regard
était beau.
Qu'elle était
verte
La vallée de ma
jeunesse,
Qu'elle était
fraîche
La source de la
vie,
Qu'il était doux
Le chant des
oiseaux de la nuit.
Comme ton regard
était beau,
Tes cheveux
ondulés, ton sourire,
Ta grâce et ta
spontanéité,
Tout en toi
exaltait ta féminité.
Qu'elle était
verte
La vallée de ma
jeunesse,
Qu'elle était
fraîche
La source de la
vie,
Qu'il était doux
Le chant des
oiseaux de la nuit.
Tout en toi
exaltait ta féminité,
Tout en toi était
harmonie,
Mais pour toi c'était encore le jour,
Mais pour toi c'était encore le jour,
Pour moi c'était
déjà la nuit.
Qu'elle était
verte
La vallée de ma
jeunesse,
Qu'elle était
fraîche
La source de la
vie,
Qu'il était doux
Le chant des
oiseaux de la nuit.
Alors j'ai fait
fleurir
L'étoile de la
poésie,
Tout est redevenu
harmonie,
Et le jour et la
nuit se sont uni..
Basile philosophe naïf, Paris le 30 octobre 2018
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