Quatre étoiles au Moulin à Café,
Quatre étoiles dans l'immensité,
Quatre étoiles dans l'immense cité,
Ont ravivé le volcan de ma
jeunesse.
Au passage, une étoile
Au passage, une étoile
M'a effleuré,
La trace qu'elle m'a laissé
Était si douce
Que j'ai voulu l'embrasser,
Coule, coule la rivière infinie
Danse, danse le bal des asphodèles
Au bord du ruisseau du soleil
Pailleté d'or et de fleurs
endiamantées,
Coule, coule la rivière infinie,
Dans tes yeux j'ai plongé
Jusqu'au plus profond de la nuit
Couverte de lunes mordorées,
Oh oui, comme j'aurais voulu t'aimer
Mon ange adoré !
Ma sirène enchantée !
Ma petite fleur des prés
Que jamais je n'oublierai
Pris dans les voiles de ta chevelure
argentée,
Pris dans les voiles de ta chevelure
argentée.
Basile philosophe naïf, Paris le
1er novembre 2018
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