Quand tu dansais la samba devant moi
Tu remuais ton cul merveilleusement
Et il était
Le plus beau de tous les culs du
monde.
Je me suis dit
Je me suis dit
En voyant cette merveille animée,
Que tu devais remarquablement bien
Faire l'amour.
Et quand assise sur ta chaise
Et quand assise sur ta chaise
Tu remuais juste tes seins,
Je me suis dit
En le voyant
Que tu étais plus sensuelle
Que mille chattes amoureuses folles
De dix mille matous amoureux fous.
Bien des fois
Tu m 'as dit regretter ta
solitude,
Je te souhaite
De brûlantes et très belles amours
Qui t'emplissent et te gavent
De désir et de plaisir.
Basile philosophe naïf, Paris le 9
novembre 2018
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