Dans
le quatorzième arrondissement
De
Paris
Se
trouve la pharmacie
Didot
Pernety.
J'y
vais régulièrement.
J'y
retrouve José
Le
gentil Portugais,
Et
puis aussi
Les
dames gentilles.
J'aime beaucoup
J'aime beaucoup
Les
dames gentilles
De
la pharmacie
Didot
Pernety.
J'aime
bien aussi
José
le gentil Portugais.
A
la pharmacie
Didot
Pernety
Je
vais régulièrement
Chercher
des médicaments.
A mon âge
A mon âge
C'est
banal, c'est normal,
On
commence à ressembler
Au
château de Pierrefonds
Avant
sa restauration.
Je vais chercher
Je vais chercher
Du
Kardegic
Pour
éviter un sort tragique.
Du Ganfort
Du Ganfort
Pour
avoir les yeux forts.
Et
du Trivastal 50
Qui,
pour le malade
Sonne
l'heure
De
la résurrection.
C'est
Jésus-Christ
En
comprimés
De
pharmacie.
Mais connaissez-vous
Mais connaissez-vous
Le
prénom d'Alzheimer ?
Non, vous ne connaissez pas ?
Attention, ça commence comme ça.
Pour en revenir à mes pharmaciens,
Ce sont plus que d'habiles praticiens,
Non, vous ne connaissez pas ?
Attention, ça commence comme ça.
Pour en revenir à mes pharmaciens,
Ce sont plus que d'habiles praticiens,
Ce
sont des amis que j'aime,
C'est
pourquoi je leur ai écrit ce poème.
Basile
Paris,
le 27 juillet 2020
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