Elle
m'a dit d'ôter ma chemise.
Quand elle m'a vu
Quand elle m'a vu
Torse
nu,
Elle a
paru prendre du plaisir
À me
regarder ainsi.
Quand elle a posé
Quand elle a posé
Son stéthoscope
Sur ma
poitrine,
Elle a
posé sa main
Sur
mon épaule nue.
Quand elle a continué
Quand elle a continué
Son
examen
Elle a
ôté sa main.
Puis,
elle m'a dit
De me
rhabiller.
C'était la première fois
C'était la première fois
Depuis
bien des années
Qu'une
femme
Posait
sa main
Sur
mon épaule nue.
Ça valait bien
Ça valait bien
Une
poésie.
Basile philosophe naïf, Paris le 20 mai 2019
Basile philosophe naïf, Paris le 20 mai 2019
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