Quelqu'un a déclaré
La poésie,
Musique des mots.
Et déclaré la musique
Poésie des sons.
La plus belle musique,
La plus belle poésie
Est, dans le tabernacle
Du ventre de la mère,
A l'oreille de l'enfant
Qui va naître,
Les battements du cœur
De celle qui porte
La destinée du monde.
Et dont les deux fontaines jumelles
Nourriront l'enfant
De lait et d'amour.
Saluons le soleil,
La Terre
Et l'amitié
D'une amie que j'aime,
Toi qui m'écrit
De tendres compliments
Qui me comblent de joie
Pour mes poésies.
Oui, toi que je connais
Depuis que tu es née,
A grandi
Et embelli
Jusqu'à aujourd'hui.
Et même que j'ai vu
Avant de naître
Mettre des coups de pieds vigoureux
Dans le ventre de ta maman,
Sous le regard émerveillé
De ton papa,
Heureux et débordé
Par l'honneur
Que le monde lui faisait
Avec cet événement
Aussi ordinaire
Qu'extraordinaire,
La naissance d'un enfant.
Je ne me doutais pas alors
Que j'écrirais un jour
Cette poésie
Pour la jeune fille en or
Et en douceur
Que tu es devenue.
Tendre est la vie,
Avec ton amitié
Et la poésie.
Que ta route demeure
Toujours
Un chemin de lis
Et de roses
Tombées du Paradis !
Hai scritto
Ti voglio bene.
Anch'io
Ti voglio bene.
Basile philosophe naïf
Paris, le 6 mai 2021
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