Beau
comme une femme
Qu'on
a croisé
Et
qui s'éloigne.
Et qu'on regarde s'éloigner
Et qu'on regarde s'éloigner
En
admirant
Le
mouvement souple et régulier
De
ses jolies jambes
Gaînées
d'un collant noir,
Sa
silhouette fine,
Sa
nuque lointaine,
Et
son je ne sais quoi
Qui
vous a charmé
Quand
vous l'avez croisé.
Basile philosophe
naïf,
Paris le 4 décembre
2017
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire