Certains adorateurs de la beauté,
Dans la très lointaine Antiquité,
Comptaient que resplendissaient
Sept Merveilles du Monde,
Dont le temple d'Artémis, à Éphèse,
Qui fut brûlé par Erostrate
Qui comptait ainsi
Voir son nom inscrit dans l'Histoire.
Moi, qui suis poète
J'ai le grand devoir de vous annoncer
Que la huitième et la plus belle
Des Merveilles du Monde,
C'est la femme
Dans ses millions de facettes.
Quand je te vois, Lia,
Foudroyé par ta beauté,
Terrassé par ta grâce
Et ton regard divin,
Je
m'incline et m'agenouille face à cet astre vivant
Qui illumine et embellit le firmament !
Heureux celui ou celle
Qui a l'honneur et le privilège
De pouvoir te serrer
Dans ses bras !
Sœur, époux, fiancé, maman !
La femme est un temple
Où nous crions notre adoration !
Restez parfaites en harmonie !
Et à toi Lia, que j'aime poétiquement,
De loin et en rêve, mille câlins et baisers poétiques
Et imaginaires, comme le parfum des fleurs à l'aurore du septième jour
Et le scintillement des comètes caressant les étoiles dans le ciel limpide,
Enchanté par ce poème témoignage de mon inconditionnelle adoration.
Basile philosophe adorateur
Paris, le 5 juillet 2021
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