Je
ne me lasserai jamais
De
voir la houle de la mer
Monter
et descendre
Sous
le ciel gris de novembre.
Je
ne me lasserai jamais
De
voir le feu joyeux
Qui
crépite et étincelle
Dans
la cheminée
En
hiver.
Je me lasserai certainement
Je me lasserai certainement
De
voir plein de choses,
Mais
je ne me lasserai jamais
De
voir Florie-Anne qui danse,
Son
sourire de rêve,
Ses
yeux rieurs,
Ses
mains
Serrant
doucement les miennes
Pendant
que nous dansons
Un
pas de danse
Écossais
ou irlandais
Un
soir de danse magique
Au
Moulin à Café.
Basile
philosophe naïf, Paris le 29 novembre 2019
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