Quand le printemps arrive à Paris
Le soleil dévêt les femmes et les jeunes filles
Aux terrasses des cafés.
Adieu manteaux épais et disgracieux !
Bonjour belles épaules,
Beaux bras,
Beaux trapèzes,
Beaux décolletés,
Belles jambes,
Belles cuisses,
Beaux nombrils,
S'ils sont découverts.
Les hommes costaux en profitent également.
Ils exhibent fièrement
Sous de minces voiles
Leurs beaux pectoraux !
Les chiens ont soif !
Quel plaisir
De pouvoir les voir
L'étancher à l'eau claire
De petits abreuvoirs improvisés
Dissémines sur les trottoirs !
Et moi aujourd'hui, j'ai vu
Mes deux « lau » :
Ma précieuse neurologue,
Et mon incomparable et merveilleuse kiné.
L'une est « lau » par son nom : Logak.
L'autre est « lau » par son prénom : Laurine.
Deux créatures que,
Pour mon bonheur,
Le Créateur m'a fait rencontrer.
Sans qui je ne saurais célébrer ainsi
Mon insouciant printemps !
Ami qui me lit, sois heureux,
Car je t'aime et pense à toi
En écrivant ce poème.
Vive la vie !
Vive Paris !
Vive le soleil !
En piste pour le Grand bal du Carnaval
Perpétuel, éternel et joyeux !
Vive la fête, la joie, le bonheur
Et la fraternité ! Tous ensemble
Dansons la farandole des gras minets !
Gloire à eux au plus haut des cieux !!
Basile philosophe naïf
Paris, le 22 avril 2022
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