Ô
Toi
Belle
et merveilleuse
Qui
me transperçait
Du
regard de tes yeux clairs,
Tandis
que des mots
S'échappaient
de ta bouche
Merveilleusement
rouge !
Tu
étais
Un
ange descendu du ciel
Pour
me vendre ma place de cinéma.
Comme
le ciel est étrange !
Déplacer
ainsi une déité
Pour
un banal commerce !
Faire
voir le Paradis
À
celui qui cherche juste
L'entrée
d'une salle obscure !
Quand
je t'ai vu
Pour
la première fois
Je
n'ai pas osé te dire
Que
tu étais charmante,
Pour
ne pas passer
Pour
un dragueur.
Je
t'ai revu
Cet
après-midi,
Pauvre
pélerin
Fuyant
la canicule
Dans
ton cinéma climatisé.
Ô
toi, belle et merveilleuse,
Merveilleusement
femme,
Merveilleusement
belle,
Merveilleusement
reine !
Ce
soir,
Je
t'écris ce poème,
Que
je te remettrai demain.
Basile
philosophe naïf, Paris le 7 juillet 2019
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